Bas voila j'aime bien les poèmes moi... et j'en fait donc à vous d'en mettre si vous voulez
Voici un des miens:
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Je n’avais pas réalisé,
Qu’entre nous tout avait changé,
Je n’arrivais pas à imaginer,
Que ce bonheur allait s’arrêter.
Et puis un jour parmi tant d’autres,
Tu as rompus cette belle histoire, la notre.
Une flèche à soudainement déchirer mon cœur,
Répandant en moi le poison de la douleur.
En fait, je n’étais qu’un nouveau papillon,
Que tu as ironiquement ajouté à ta collection.
Je ne saurais dire combien de larmes sont coulés,
Pour toi qui occupe la moindre de mes pensées.
Mais comment pourrais-je oublier ?
Ce visage qui m’à envouté,
Ce regard qui m’a foudroyé,
Cet être qui autrefois m’a aimé.
Tout ces moments passés à tes cotés,
Restent atrocement gravés,
Au plus profond de mon cœur mutilé,
Qui ne peut s’empêcher de saigner.
Comment as-tu pus m’infliger ça ?
A moi qui aurais tout sacrifié,
Pour rester auprès de toi,
Tu m’auras fais vivre un comte de fée.
Mais à présent il ne me reste que l’amertume de ce passé,
Et les morceaux de cette histoire brisée.
Cette maladie, qu’est l’amour,
Me ronge un peu plus chaque jour.
N’ais-je le droit d’abréger mes souffrances,
Moi qui suis sombrée dans ce sinistre silence.
Et lentement les mois passent,
Mais le souvenir, lui, ne s’efface.
Je te demande à présent de quitter mon être,
Que tes beaux yeux d’ébènes,
Laisse en paix mon cœur noyé de peine.
Et de laisser le temps,
De cicatriser mes blessures,
Qui m’anéantissent à l’usure.
Quand ce jour viendra, alors mon âme pourra renaître.
Alors tous ceux ayant une âme de poète à vos stylos mdr.
Voici un des miens:
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Je n’avais pas réalisé,
Qu’entre nous tout avait changé,
Je n’arrivais pas à imaginer,
Que ce bonheur allait s’arrêter.
Et puis un jour parmi tant d’autres,
Tu as rompus cette belle histoire, la notre.
Une flèche à soudainement déchirer mon cœur,
Répandant en moi le poison de la douleur.
En fait, je n’étais qu’un nouveau papillon,
Que tu as ironiquement ajouté à ta collection.
Je ne saurais dire combien de larmes sont coulés,
Pour toi qui occupe la moindre de mes pensées.
Mais comment pourrais-je oublier ?
Ce visage qui m’à envouté,
Ce regard qui m’a foudroyé,
Cet être qui autrefois m’a aimé.
Tout ces moments passés à tes cotés,
Restent atrocement gravés,
Au plus profond de mon cœur mutilé,
Qui ne peut s’empêcher de saigner.
Comment as-tu pus m’infliger ça ?
A moi qui aurais tout sacrifié,
Pour rester auprès de toi,
Tu m’auras fais vivre un comte de fée.
Mais à présent il ne me reste que l’amertume de ce passé,
Et les morceaux de cette histoire brisée.
Cette maladie, qu’est l’amour,
Me ronge un peu plus chaque jour.
N’ais-je le droit d’abréger mes souffrances,
Moi qui suis sombrée dans ce sinistre silence.
Et lentement les mois passent,
Mais le souvenir, lui, ne s’efface.
Je te demande à présent de quitter mon être,
Que tes beaux yeux d’ébènes,
Laisse en paix mon cœur noyé de peine.
Et de laisser le temps,
De cicatriser mes blessures,
Qui m’anéantissent à l’usure.
Quand ce jour viendra, alors mon âme pourra renaître.
Alors tous ceux ayant une âme de poète à vos stylos mdr.